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Quatrième de couverture
Quand on prend les nanas pour des grues,
Il ne faut pas s’étonner quelles montent sur leurs échasses.
Cette citation de la Zibelyne donne le ton de ce recueil. Les poèmes virent parfois au pamphlet. L’auteure en découd avec l’actualité. Entre larmes et sang se glissent des strophes joyeuses et une prose éclectique.
Un recueil qui porte la marque d'un quinquennat. De ces années troubles est née une volonté farouche de résister. Les hommes passent au sommet des États, mais l'humanité les subit. L’esprit
de résistance porté par les Indignés ne doit pas s’évanouir parce qu’une tête a changé.
Stéphane Essel a porté à notre mémoire l’esprit, encore proche, de la Résistance.
Il nous appartient de transmettre cette volonté, afin que le monde qui nous entoure reste vrai, loin des fourberies de Scapins fort habiles à détrousser leurs administrés.
Haussons le ton, pour dire, non !
Indignons-nous !
Résistons !